11/12/2009

Dans le velours - Forêts de Wajdi Mouawad

La nudité parait très importante chez Mouawad, elle représente la fragilité de l'homme dans sa forme foetale...



Mercredi 9, direction théâtre pour aller voir LA pièce de 4h, Forêts de Wajdi Mouawad, un auteur libano-québéco-français (ça c'est du CV).

Mais bon 4h, je commence à baliser, je me dis:

"4h, woaw 4h, ça va être long, si c'est nul je me téléporte direction la sortie dés l'entracte."

Enfin 19h30 approche et les sbires du théâtre commencent à nous dire qu'il faudrait peut être songer à aller asseoir nos jolies petites miches sur les fauteuils de velours pourpre de la grande salle.

On s'exécute, La large salle compte un bon nombre de vieux.

C'est d'ailleurs incroyable, les vieux se trompent constamment de place au théâtre et ils répondent souvent d'un air surpris: "ah mais non je suis bien à ma place", ils vous montrent leur place: "c'est bien la place R42... enfin, j'ai pas mes lunettes".

Imbécile de vieux, ici c'est la place P18, dégage maintenant!


C'est bon, c'est bon, je me calme et je retourne au lyrisme que m'impose la tradition de la critique d'art.


Nous nous installons et le rideau d'obscurité tombe sur la salle, la sonorité s'atténue et les âmes s'apaisent le temps du mince moment de silence (si jouissif) qui correspond au temps de concentration des acteurs et du public...


LUMIERE,

S’en suit 4h, merde, 4h qui sont finalement passées très vite.

...

Bilan, Mouawad nous a présenté à travers différentes générations de femmes, une conception animale de l'amour mais en même temps tellement humaine et fragile.

On découvre les méandres du destin d'une adolescente québécoise accompagnée d'un paléontologue français qui vont découvrir ensemble la terrible histoire d'une lignée de femmes maudites par le destin.

Les femmes deviennent victimes des hommes et pourtant leur force de caractère et leur courage impressionnent.

Sans trop en dire sur l'intrigue, je veux surtout m'attarder sur la mise en scène.

Les confrontations entre passé et présent sont très bien orchestrées telles des photos vivantes du temps passé, les personnages semblent vivre sur plusieurs époques tel des fantômes hantant la scène.

La mise à l'honneur de la nature transforme la scène en véritable lieu de voyage et on se sent tout de suite transporté de Québec actuel jusqu'à la France des années 40, doublé d'acteurs qui n'hésitent pas à montrer tout leur talent et toute leur justesse sans aucun complexe.


La tombée finale de pétales de rose est fatale pour le public et conforte l'idée d'une pièce nettement réussie dont les acclamations en témoignèrent.


La seule critique que je trouve ici à amener, est la difficulté purement due "à mon ouïe française" des accents québécois étant parfois quasi incompréhensibles malgré un effort des comédiens pour s'adapter au "spectateur français moyen".

Concernant la mise en scène, je regrette seulement la "pluie" dont les critiques parlaient, cependant ceci reste à l'appréciation et aux moyens de chaque théâtre, qui ne peut pas forcément se permettre de mouiller toute sa salle, pour quelques capricieux de mon espèce.

Un auteur largement à la hauteur du Molière (meilleur auteur dramatique francophone - 2005) dont il a été récompensé pour sa pièce Littoral.


Je me suis finalement extirpé des fauteuils moelleux du théâtre, je suis rentré chez moi, j'ai attendu quelques jours le temps que la pièce murisse dans mon esprit et je viens enfin vous dire d'aller la vivre (ou pour les plus feignants la lire)...

02/11/2009

Le Fantasme de "l'Androgynos Primitivos"

par Marisol La Platonique

28/05/2009

3615 Voyance...


Dire que des gens croient à ça...

Mon père m'a raconté qu'il avait un collègue qui allait voir régulièrement un marabout... Et ce marabout effectuait des "protections", c'est à dire que pour une certaine somme d'argent, il entreprenait avec son client un rituel qui avait pour effet de le protéger entièrement.
Cependant ce collègue, qui un mois à eut des difficultés financières, était allé voir son marabout et lui avait dit qu'il n'avait que la moitié de la somme habituelle pour le rituel de la "protection". Et bien le marabout lui a fait une "demi protection"... "Je crois qu'Harry Potter a encore beaucoup à apprendre"... La manipulation de l'esprit reste aujourd'hui la seule grande magie... 

L.P

11/05/2009

Sauvons les pandas!!



Je viens de trouver un moyen de relancer l'espèce des pandas. Un carton d'alcool et une bonne gueule de bois...

Stoppons les films pornos pour Panda...

L.P (dessin et semblant d'article).

10/05/2009

Porno 2.1


No Comment...

[L.P]

15/03/2009

Suis le nez, la gueule et la banane...



Après quelques mois d'inaction sur cette tribune.
Je veux réécrire quelques mots pour un grand artiste, Alain Bashung.
Hier soir, 18h, le cancer a emporté ce vieux de la veille!
Diminué aux victoires de la musique, on a pu voir un homme malade qui a toujours reconnu avoir fait des excès dans sa vie, ce qu'il a visiblement jamais regretté.

Les mots étaient son charme et sa musique son arme.
Mon père disait: "il aurait pu devenir un Gainsbourg!"
Pourquoi le comparer, pourquoi dire qu'il était un géant maintenant qu'il a passé sa musique à gauche. Les pisseux de journaleux n'ont quasiment jamais parlé de lui au profit d'artiste éphémère et incapable d'écrire le moindre texte poétique.
Bientôt on aura le droit aux "compils Bashung hommage", pitoyables profiteurs!
Ces gens là n'ont rien compris!

Les mots, la mélodie, le charisme, la voix, le regard... quelque soit le nom qu'on lui donne, c'est une étrange alchimie, le parfait produit d'un homme touchant...


L.P

18/01/2009

"Dans le l'art!"


"- Et toi, t’as vu l’expo Picasso ?

- Picasso ? Le mec qui peint n’importe comment ? Très peu pour moi !"


Malheur à ceux qui ont déjà prononcé ces mots ! Heureusement, ils ont encore le temps de se rattraper en courant de ce pas voir l’exposition Picasso et ses maîtres qui a lieu au Grand Palais jusqu’au 1er février.

Vous me direz, quel est l’intérêt pour ceux qui, a priori, n’aiment pas Picasso d’aller voir cette exposition dont tout le monde parle ?

Et là je vous réponds que c’est l’occasion de découvrir la production protéiforme de Picasso en regard avec les toiles des plus grands peintres de l’histoire de l’art.

Ainsi vous découvrirez que si ce cher Pablo se permet quelques fantaisies et invente le cubisme, c’est tout simplement parce qu’il est un as de la technique dès son adolescence, grâce aux copies des plus belles œuvres de l’Antiquité (une référence pour tout peintre qui se respecte).

Il peut dès lors s’attaquer à l’invention de nouvelles formes ainsi qu’à la réécriture des grands tableaux, Les Ménines de Vélasquez par exemple, pour n’en citer qu’un.

Grâce à des salles thématiques, la lecture des œuvres est aisée, même si la muséographie (la façon d’agencer les œuvres, ndrl) n’est pas exceptionnelle – chose qu’on ne peut habituellement pas reprocher au Grand Palais- et que certains rapprochements ne sont pas des plus pertinents. Pour finir de vous allécher, je vous annonce que, et c’est une première en France, l’exposition sera ouverte sans interruption du vendredi 30 janvier 9 heures, au lundi 2 février 20 heures.


Alors, si faire la queue pendant deux heures vous décourage, je vous invite à aller admirer le génie du XXe siècle en pleine nuit. Je vous promets de biens belles rencontres. Vous y repenserez en tombant sur La Maja desnuda de Goya, accrochée en face de La pisseuse de Picasso.


Du pur bonheur.


Marine G.

17/01/2009

Amour, Gloire et Beauté...

La rencontre de notre joyeux couple présidentiel ne s’est pas passée de la manière dont les médias ont pu le raconter. Nous tenons ici une version quasi exacte de cette rencontre :

Le Sarko et la Carla :

Maitre Sarko, sur un arbre perché
Tenait en son bec un lingot
Maitresse Carla par l’odeur alléchée
Lui tint à peu près ces mots :
« Hé ! Bonjour, Monsieur Le Sarko.

Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau!

Sans mentir, si votre costard
Se rapporte à votre brushing,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. »
A ces mots le Sarko ne se sent pas de joie ;

Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, prend en ses mains sa proie.
S’approche et dit : "Ma bonne Madame,

Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un lingot, sans doute. "
La Carla, honteuse et confuse,
Accepte le lingot et la compagnie de l’animal trapu.


«Un lingot peut en cacher un autre (enfin ça dépend chez qui).»

L.P

12/01/2009

Rolex Time











"les Riches ont les Rolex, les pauvres les regardent et Sarko possède le magasin."
M.G (dessin)

11/01/2009

skyzophrénie inquiétante!!


La nature est capable de faire bien des miracles cependant la chirurgie esthétique est bien plus "forte"...

Voici un portrait dérobé au docteur Jockovitch, spécialiste en chirurgie estétique faciale de la clinique de Тверская à Moscou en Russie, ou devrais je dire en ex-URSS...

Ce portrait a été trouvé dans un dossier au nom de "Camarade Olivietz Besancenovik". Ce nom est totalement inconnu des services hospitaliés soviétiques...

Les services d'ordre moscovites recherchent activement cet individu accusé de trouble à l'ordre public et pour fanatisme d'une icone interdite du nom de Léon Troski.
Les autorités russes ont lancé un mandat d'arret international depuis 1982 contre ce dit individu, elles ne possèdent cependant que cette photo. Celles ci pensent que l'inconnu aurait immigré en europe de l'ouest et qu'il aurait refait appel à la chirurgie plastique.

Les autorités redoutent qu'il tente d'étendre sa doctrine dans cette région d'europe.
Je vous fait donc parvenir ce portrait envoyé par le gouvernement russe pour que l'individu soit arrété et jugé dans son pays natal, l'URSS.
L.P (dessin et article)

10/01/2009

Intoxication d'information



"C'est le baiser d'adieu du peuple irakien, chien!"
Voici les mots qu’a prononcé Mountazer al-Zaïdi en jetant ses deux chaussures au visage du chef d’état américain, Georges Bush.

C’était le 14 décembre 2008, Georges Bush fait une visite imprévue en Irak, tant dis qu’il patrouille tel un gardien de l’ordre dans la savane irakienne, il tombe par hasard sur une horde de journaliste, alors que le premier ministre irakien, Nouri Al-Maliki fait le pied de guerre dans une salle de conférence. Les drapeaux américains et irakiens jonchent la salle. C’est ainsi que Georges Bush décide de s’arrêter imprévisiblement à cette mono-conférence du ministre irakien pour revenir sur ce qu’il a apporté à l’Irak depuis 2003 et aussi pour dire adieu à ce peuple accueillant qu’il aime tant.

Néanmoins dés que le chef d’état tente de prendre la parole, un jeune journaliste, Mountazer al-Zaïdi se lève de l’assemblée journalistique pour envoyer successivement ses deux chaussures au visage du chef d’état américain dans le soi disant but de « l’humilier ». Monsieur Bush évite les deux chaussures de justesse.

Ceci est la version que nous avons pu entendre ou lire dans les médias, et bien je vais vous révéler les dessous de l’affaire.

Revenons tout d’abord à l’essence de cette affaire, le 11 novembre 2008, Georges Bush reçoit Barack Obama à la maison Blanche pour effectuer la « transition ». Cependant les journalistes se sont posés une question à l’issu de cette transition : « t’étais invité toi ? », en effet les images de ce moment sont rarissime, par conséquent les journalistes sont très obscurs sur ce qui s’est passé ce jour là entre les murs de la Maison Blanche. En effet il serait formidable que les deux hommes se soient entendus et que l’un est même converti l’autre. Seulement quand on s’appelle monsieur Bush que l’on est texan, que l’on a eu un père président républicain, que l’on a suivi des cours à la Harvard Business School, que l’on a fait deux mandats successifs « d’homme le plus puissant du monde » et que l’on a trouvé « dieu » (oui mesdames et messieurs Georges Bush a trouvé dieu quand il s’est arrêté de picoler), on ne se fait pas influencé par un noir. Et puis quand on est noir au Etats-Unis, on ne fait pas confiance à un texan qui veut tirer sur des mexicains.
Le fait est que les deux hommes se sont entretenus sans que l’on puisse savoir de quoi. La seule chose qu’ait dite en public Georges Bush sur son successeur est la suivante: "Nos concitoyens ont choisi un président qui représente un triomphe dans l'histoire des Etats-Unis, un hommage au travail acharné, à l'optimisme et à la foi dans la promesse immuable qu'offre notre pays".
Cette phrase ayant été dite à une allocution radiophonique n’est en faite que celle de l’imitateur américain, Jim Meskimen. Georges Bush n’a jamais dit de telles choses concernant le nouveau président.
Depuis le 11 novembre 2008, Georges Bush craint le jour de ce fameux « 20 janvier 2009 », où il ne redeviendra plus qu’un simple citoyen américain.
Imaginez ce que ressent ce pauvre homme qui du jour au lendemain passera d’homme « le plus puissant du monde » à simple citoyen américain à égalité avec un « noir ». Cet homme doit ressentir un tel affront, lui qui avait arrêté de boire, ceci ne serait pas étonnant de le voir dans quelques mois dans une clinique de désintoxication ou dans des groupes de soutien d’alcooliques anonymes. D’ailleurs je lance un appel, si vous êtes américain, alcoolique et que vous participez à des groupes d’aide (et évidemment si vous parlez français), pensez à ne pas rejeter le petit « Larry » qui sera venu intégrer votre groupe de soutien. Car à moins que vous soyez aveugle ou que vous ayez passé trente ans en prison sans télévision, ayez de la compassion pour cet homme en détresse.
Bon bref, pour revenir à notre affaire, Georges (appelons-le seulement Georges dorénavant) à la suite de cet entretien avec Barack Obama, a eu une envie folle de prendre son jet « imprévision » et de voler vers l’Irak pour aller se balader un peu, histoire de se calmer à la suite de la « transition ».
Tandis que les télévisions du jet présentent une mosaïque de chaine internationale et américaine, Georges remarque ce jeune reporter sur la chaine Al-Baghdadia, c’est ainsi qu’une idée germe en lui.
Georges appelle son assistante et lui demande de se débrouiller pour qu’il puisse d’ici une heure, parler avec cet homme qu’il voit à la télévision.
50 minutes plus tard le numéro personnel de l’irakien est sur sa tablette (en effet, les secrétaires sont très performantes). Georges empoigne un téléphone sécurisé de l’avion (car les présidents n’ont pas le droit d’avoir de portable pour cause d’un trop fort risque d’espionnage, leur portable ne sont jamais sur eu, ils utilisent différents « téléphones-satellites.») et appelle le jeune journaliste.
Ne me demandez pas comment j’ai réussi à me procurer cet enregistrement (on ne dévoile jamais ses sources) :
(Sonnerie d’appel)
«- Allô, monsieur Mountarez al-Zaid?
- Non monsieur, c’est Mountazer al-Zaïdi!
- Oui et ben c’est ce que j’ai dis !
- Non, vous avez dit Mountarez al-Zaid !
- Bon je ne vous appelle pas pour ça !
(Légère coupure dû au téléphone satellite)
- Allo !
- Oui, oui, je suis là !
- Pourquoi m’appelez-vous sur mon portable personnel ?
- Je l’ai obtenu, peu importe comment je l’ai eu.
- Et a qui ais-je à faire ?
- Au président des Etats-Unis d’Amérique (petite musique patriotique avec roulement de tambour en fond).
- Et bien surprenant. Pourquoi m’appelez-vous ?
- J’ai un petit marché à vous proposer qui nous serait profitable à tout les deux… »
La suite de l’enregistrement n’est pas disponible.
Le tout est que le président a atterrit deux heures après son coup de fil au jeune journaliste, sur une des bases américaines près de Bagdad, celui-ci a immédiatement pris un véhicule banalisé avec chauffeur prêté par la base. Georges a rejoint Mountazer au Babylone Palace, un hôtel modeste de Bagdad. Le journaliste l’attendait dans une des suites du palace. Ma source affirme que les deux hommes ont passé environ deux heures dans la suite, celui-ci a tenté d’écouter à la porte où il a pu entendre la conversation des deux hommes qu’il a pu enregistrer sur dictaphone, laquelle il m’a fait transmettre :
« - Alors que faisons-nous pour ça ?
- Il faut trouver un geste fort ! (Bush)
- De quel type ?
- Du type atteinte physique.
(Bruit de pas)
- Tu me jettes tes pompes dessus ! Et tu me cries un truc comme: "creves!" pour que ce soit aussi une aggression verbale.

- Et ensuite ?
- Je les évite et après tu pars en courant vers la sortie. Je fais comme si je ne m’y attendais pas du genre « tiens je suis étonné ! »
- Et j’y gagne quoi dans l’histoire ?
- Tu deviens un héros pour ta société !
- Et vous, vous y gagnez quoi ?
- Et ben moi, je t’explique, les images vont faire le tour du monde, les journalistes parleront de moi et oublieront l’autre noir ! Ensuite les occidentaux vont avoir peur car ils vont croire que ton peuple se rebelle contre l’armée en Irak ! Le 20 janvier 2009, quand l’autre reprendra la main, ca sera le « bordel total » chez toi. Comme ça, je lui aie pourris ses relations internationales avant de lui redonner la place. De plus il n’a pas d’expérience, les américains se rendront compte que c’est un « bon à rien » et les républicains reviendront sur le siège et le congrès en 2012. Dans le meilleur des cas, le Congrès le vire à coup d’ « impeachment ».
Et je te jure que l’on ne refoutra plus jamais nos pieds dans ton pays, parole de texan !
- ça me parait honnête comme marché. »
(Fin de l’enregistrement)
C’est ainsi que Mountazer s’entrainera toute la nuit du 13 au 14 décembre 2008 à envoyer ses chaussures de taille 43.

Le 14 décembre 2008, jour de l’opération, tout se passe merveilleusement bien, Georges évite les deux chaussures successivement.
En effet ce qui m’a mis sur la voie pour cette affaire est que Bush a relativement bien esquivé les chaussures lancées, incroyable non ? Comme si il savait que Mountazer lui enverrait ses souliers.
Le seul problème pour plus de crédibilité est que le journaliste a été tabassé par les hommes de la sécurité. On ressent dans le regard de Bush une lueur qui a su dire : « merde, ce n’était pas prévu ça ! »

Epilogue :
Mountazer al Zaïdi est aujourd’hui un grand héros de la résistance irakienne contre l’occupation américaine. Néanmoins le plan diabolique des deux hommes s’étant assez mal déroulé du fait qu’ils avaient oublié certains détails tels que la réaction du gouvernement irakien. Mountazer al Zaïdi est actuellement en détention provisoire en l’attente de son procès, mais je pense qu’il sera vite libéré et excusé :
« "L'agression", filmée, symbolisant la colère et la frustration du monde arabo-musulman après huit années d'administration Bush, a été diffusée en boucle par les télévisions du monde entier et sur internet, transformant Mountazer al-Zaïdi en héros vengeur et icône de la résistance contre l'occupation américaine. Des manifestations de soutien pour exiger sa libération ont eu lieu dans de nombreux pays arabes, le parlement jordanien a observé une minute de silence en signe de solidarité, des centaines d'avocats se sont proposés pour assurer sa défense gratuitement, des télévisions arabes lui ont proposé un emploi (l'une d'entre elles, la libanaise NTV, propose même de le salarier "à compter de l'instant où la première chaussure a été lancée"), et la fille du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a annoncé qu'elle le décorerait de "l'ordre du courage". La marque de chaussures Baydan doit pour sa part faire face à un afflux de centaines de milliers de commandes pour le "modèle 271" judicieusement rebaptisé "Bush shoes". » (extrait d’un article de la République des lettres)
Cependant qu’en est-il de Georges Bush en ce moment ?
Vous ne l’auriez pas aperçu à votre groupe de soutien des "alcooliques anonymes" ?

L.P

#voir la vidéo#

09/01/2009

La première de notre e-tribune




Aujourd'hui grande ouverture: "The Crumble Tribune".



Une tribune faite pour les gens qui n'ont rien d'autre à faire que nous lire.




"Tout ceci ne peut que vous divertir car c'est à prendre au second voir au troisième degrée."

Vous avez envie de participer à notre cause?
ça tombe bien, on recherche : dessinateurs, "journaleux de merde à rubrique", journaleux "intellos", enfin que des cons dans l'ensemble, des gens qui ne souhaitent que dire leur avis.

Pourquoi "The Crumble Tribune"?
... si j'avais une réponse...

Pourquoi une tribune?
Car sérieusement plein de gens souhaitent écrire et cette tribune ne fera que répertorier les écrits de nos heureux journaleux amateurs! Histoire d'avoir un support et un endroit ou réunir nos opinions.


Sur quoi écrire ou dessiner?
Scandales politiques, actualité à long terme, culture, loisirs,...

Sur quoi ne pas écrire?
Actulité type tabloïd (pas besoin de citer de magazines poubelles), la morale n'est pas notre limite néanmoins l'abus l'est (les gens intelligents comprendront)!

Comment participer à l'écriture?
Si vous souhaitez écrire pour la tribune, contactez nous par le biais du groupe Facebook, envoyez nous votre écrit, controle puis publication.